Dans la grande région de Montréal, le transport en commun assure le déplacement de nombreux utilisateurs. Parmi les transports en commun, on y retrouve les autobus, le métro, le train de banlieue.
Depuis plusieurs années, le transport en commun, en particulier le métro, éprouve de sérieux problèmes. Les trains utilisés par le métro de Montréal datent, pour la grande majorité, des années 60-70. Malheureusement, la STM ne pouvait pas procéder au rajeunissement de ses trains, faute d’argent. De plus, les installations (station de métro, garage, encare, etc) utilisés par la STM sont en piètre états. En plus, le système informatique de la STM est désuet, datant d’une autre époque.
Nous assistons à une augmentation constante des frais d’exploitation du transport en commun. Pourtant, les investissement provenant des différents palier de gouvernement tarde à venir. Les différentes sociétés de transports de la grande région de Montréal sont déficitaires et urgents les gouvernements pour injecter de l’argenta avant l’arriver d’une catastrophe. Par contre, les gouvernements ne semblent pas vouloir remédier au problème.
Pourtant, plusieurs politiciens semblent avoir de nombreux projets pour le développement du transport en commun, spécialement le métro. Par contre, aucun politiciens ne veulent s’avancer et proposer des idées pour solutionner les nombreux problèmes qu’éprouve le transport en commun. Les prises de décisions ne se prennent pas et les utilisateurs sont pris en otages.
Les dirigeants des sociétés de transports devront commencer à faire des bilans, à produire des états financiers claires mais surtout mettre au clair les situations problématiques.
Nos élues devrons prendre des décisions le plus rapidement possible car la population ne veut plus être pris en otage.
C’est à se demander si la situation problématique qu’éprouve les sociétés de transport est la somme de mauvaise gestions de ces dirigeants ou d’un manque d’ambition de nos élus.
filipponeanthony 