L’utilisation des technologies dans le milieu scolaire

Contexte

Pour cette dernière activité du cours INF6107, j’ai décidé de choisir mon milieu de travail, soit la commission scolaire de Montréal (CSDM).

La CSDM a pour mission d’offrir des services d’éducation de qualité à sa clientèle. Son réseau scolaire compte environ 200 établissements répartis dans la ville de Montréal. Sa clientèle provient de divers milieux sociaux, économiques et linguistiques. On compte près de 110 000 élèves (jeunes et adultes).

La mission principale de la CSDM est d’offrir des services éducatifs de qualités, tout en veiller à la réussite de ses élèves. La CSDM doit tenir compte « de la diversité culturelle et de la disparité économique de la population scolaire ».

Problématique

Je travail au service des technologies de l’information (STI). Ce service a l’objectif principal de supporter le parc informatique du centre administratif, des écoles primaires et secondaire, ainsi que les centres pour adultes. Le STI met à la disposition des écoles un groupe de soutien technique prêt à se déplacer, en cas de besoin. Ce groupe est divisé en 5 équipes, desservant chacun un territoire.

La CSDM met à la disposition de ses membres un portail. Le portail est un espace personnel permettant aux différents membres d’avoir accès à différent outils à un seul endroit tel que : agenda, courriel, intranet, ressource et communauté. Les communautés permettent aux individus d’obtenir de l’information. Les communautés représentent, pour la grande majorité, des établissements scolaires ou des département du service administratif. Malheureusement, les gens n’utilisent pas le portail car son utilisation est difficile. La CSDM n’offre pas de formation pour l’exploitation du portail à ses employés.

Au cours des années, l’équipe de soutien en informatique a développer une communauté sur le portail. Sur cette communauté, on retrouve plusieurs informations et outils essentiels pour aider ses membres dans leurs travail quotidiens. Par contre, plusieurs informations sont désuet et ils doivent être mise à jour. Les employés du STI sont surchargés par le travail et ils n’ont pas toujours le temps d’effectuer les modifications nécessaire.

Depuis quelques années, la CSDM est restreint à effectuer des compressions budgétaires importantes. Ces compressions budgétaires ont pour but de parvenir à un équilibre. Pour y parvenir, les gestionnaires ont procéder à une réorganisation du travail dans chacun des département et établissement scolaire. À l’aide des départs à la retraite de ses employés, les gestionnaires ont pu supprimer plusieurs postes et ils ont procédé à la réorganiser du travail de plusieurs. L’effet négatif de cette réorganisation du travail a comme conséquence d’alourdir la tâche de plusieurs employés et ils n’ont pas assez de temps pour effectuer le travail. De plus, la mentalité et la façon de faire des gens est difficile à changer.

Dans la fouler des compressions budgétaires, le STI a décidé de centraliser plusieurs services informatiques offert aux établissements, dont l’achat d’équipement informatique. Le but principal de la centralisation des achats vers le STI est de permettre de normaliser la configuration de tous les équipements informatique. Par contre, cela amène des délais de livraison incontrôlables. De plus, les procédures d’acquisitions changent fréquemment. Les utilisateurs et les techniciens ne sont pas tenu courant de ces changement. Les informations tardent à parvenir aux gens.

Avec la centralisation des services informatique, le STI a décidé d’incorporer tous les techniciens et opérateurs situé dans les écoles à son service. Maintenant, ils peuvent bénéficier des formations et être présent aux différentes séances d’information offerte par STI. Ces informations sont disponibles sur la communauté du service. Par contre, ces informations sont souvent interpréter différemment par les membres et les gestionnaires ne corrigent pas les malentendu. Les formations offert par le service sont souvent poussés par certains personnes car la mentalité tarde à changer. Les gestionnaires veulent offrir le maximum de services aux utilisateurs mais ils commencent à comprendre la nécessité de formation.

Le département de l’informatique est présentement le seul département ayant un système complètement informatisé de requête. Lorsqu’un utilisateur rencontre un problème informatique, celui-ci est invité à inscrire une requête pour le signaler. Le personnel en soutien informatique affecté à son établissement va le traiter dans un délai raisonnable. Ceci permet au personnel du STI de gérer les requêtes selon un ordre de priorités. Malheureusement, cette façon de fonctionner crée de la frustration chez plusieurs personnes. Le groupe de soutien technique sont très en demande et parfois, ils sont surchargés. Malheureusement, les utilisateurs ne sont pas conscients de cette situation.

Au CSDM, seul le STI possède un système informatisé de requête. Les autres services ne possèdent pas de système informatisé de requête et cela complexifie énormément les demandes des gens.

Les directions d’écoles sont reçoive les différentes informations, en matière informatique, avant les membres du STI. La crédibilité du personnel du STI est souvent questionné par plusieurs personnes. Heureusement, les gestionnaires veulent changer cette approche.

Dans un an :

La centralisation des activités informatique vers le service des technologies de l’information sera complétée. Tous les demandes d’achats d’équipements informatiques sera dirigé vers le STI.  Les utilisateurs auront simplement un formulaire à remplir. Une fois rempli, le formulaire sera envoyé au SRI et les employés traiteront la demande dans un délais raisonnable.

L’implémentation d’un système informatisé de requête, dans tous les départements de la CSDM, débutera. Cette implémentation devra être graduelle pour ne pas brusqué plusieurs personnes. Cela impliquera un changement dans le travail des gens et il aidera grandement le traitement des demandes des gens. Chaque requête sera enregistré et ils pourront être consulté en tout temps.

Les gestionnaires du STI permettront aux employés de se rencontrer sur une base régulière. Ces rencontres permettront aux employés de rester informés sur les projets en développement, d’obtenir des formations sur différents sujets et de partager le savoir-faire. De plus, ces rencontres permettront aux membres de se connaître.

La communauté du personnel de soutien informatique se trouvant sur le portail va être repensé pour améliorer les différents outils utilisés par les membres. L’outil de base de connaissance (genre de Wiki des problèmes rencontré et les solutions) sera amélioré.

Les gestionnaires commenceront en envoyer, plus formellement, des informations à ses membres. Ceci permettrons d’être informer sur différents situations en provenance du service. Ces informations seront envoyer par courriels et ils seront accessible sur l’intranet, dans la communauté du STI. Il y aura développement d’un journal informatisé où les gens pourront consulter. Ce journal permettra aux gens d’être informé des évènements se déroulant au STI.

Dans cinq ans :

La centralisation des services informatiques au STI va être compléter depuis longtemps. Le service va être en meilleur position pour répondre aux différentes demande aux établissements. L’implémentation d’un réseau sans-fil dans tous les établissements scolaire leur permettront d’avoir un réseau accessible.

L’implémentation d’un système informatisé de requête dans tous les départements de la CSDM va être fonctionnel. Les gens pourront traiter les requêtes de façon efficace. Les requêtes sont accessibles en tout moments, même lorsqu’ils sont complétés.

L’utilisation du portail et de l’intranet seront davantage utiliser pour obtenir de l’information. Ces deux outils seront repenser pour mieux répondre aux différentes demandes des gens car l’information n’est pas souvent évidant à trouver. Des formations seront offerts pour les gens sur l’utilisation du portail.

Des formations continues pour mieux utiliser différents outils et applications devra être disponible. Ces formations devront être offrent autant aux membres du STI qu’au membres des autres services. L’utilisation de technologies en milieux scolaire est grandissant et les gens ont besoins de savoir comment les utiliser. Pour les membres du STI, les formations sont utiles car les technologies évolues rapidement et il faut rester à jour pour mieux répondre aux besoins des gens.

Dans vingt ans :

Le portail et l’intranet continueront à être une source d’information importante. Les gens devront utiliser le portail davantage car elle offre d’énormes possibilités. Avec le départ à la retraite de plusieurs personnes et la venue d’une nouvelle génération, le portail connaîtra un second souffle. Les nouvelles générations sont favorables à utiliser un portail. Cela permet de rassembler en un seul endroit les différentes communautés. Les informations seront filtrées et il n’y aura pas de surcharge d’information. Les nouvelles générations seront enclin à utiliser les outils présent sur le portail. Il ne faut pas oublier d’initier les gens à l’utiliser.

La génération ayant la plus de difficulté avec la technologie sera partie en retraite et les générations seront plus apte à utiliser les différents outils informatisés. Ils n’auront pas peur d’utiliser les technologies dans leur travail. Ils sont plus apte à utiliser le système de requête pour  tout besoin informatique et de s’informer sur les communautés proposer sur le portail.

En conclusion

Les compressions budgétaires amènent la CSDM à redéfinir ses pratiques. Pour devenir performante, la CSDM doit nécessairement utiliser les technologies et surtout apprendre à ses employés à les maîtriser.

En 2008, le service des technologies de l’information a développé un banque de connaissance (genre de Wiki) permettant à ses employés de documenter les problèmes informatiques rencontré. Elle est accessible par tout la communauté. Cette volonté de documenter les problématiques aide grandement le travail.

Les gestionnaires devront apprendre à écouter les membres du STI car plusieurs d’entre eux ont plusieurs idées pour permettre au service de mieux répondre aux demandes. Il n’y a pas si longtemps, les gestionnaires refusaient systématiquement que les employés reçoivent des formations. La technologie évolue très rapidement et les gens sont souvent dépassés.

La communauté a su faire pression pour mettre accessible les différents outils et information sur la communauté (situé sur le portail). Il faut constamment mettre à jour ses informations car la technologie évolue rapidement.

Activité-B : Bilan

Activité-B – Bilan

Au début de ce travail, il a eu une période de réflexion sur le choix du thème. Ce thème m’a permis d’arrêter mon choix sur un sujet, selon moi, mérite qu’on porte attention : le sous-investissement dans le transport en commun.

Composante de mon initiative

Dans le but de promouvoir mon sujet, j’ai suivi les conseils émit dans l’énoncé de l’activité du cours. J’ai commencé à créer un endroit de ralliement. Cet endroit se trouve sur mon blogue. Sur cette page, j’expose les problématiques et les enjeux du sous-investissement en transport en commun.

Une fois l’article créé, il fallait prendre l’initiative de promouvoir le sujet sur le web. Cela implique d’utiliser ma présence sur les différents réseaux sociaux pour attirer l’attention des gens et de susciter un intérêt (ou un échange).

Étape 1 : Facebook

J’ai utilisé ma présence sur le réseau Facebook pour promouvoir ma cause. Ceci passe en créant un groupe. Ce groupe permet de rejoindre un maximum de gens n’ayant pas nécessairement les moyens d’obtenir et de partager de l’information.

De plus, j’ai invité mes contacts d’aller visiter l’article que j’ai publié sur mon blogue. En partageant le lien de mon article, les gens ne voulant pas se joindre au groupe peuvent aller consulter l’article.

Étape 2 : Twitter

Ce réseau facilite le partage des messages simples, d’articles et de liens permettant de sensibiliser mes contacts.

Étape 4 : Courriel

À partir de ce point, je me suis aperçu que je n’ai pas pu rejoindre tous mes contacte. Plusieurs personnes que je dispose de leurs courriels mais je ne suis pas nécessairement sur les réseaux sociaux pour divers raison.

Donc, j’ai procédé à l’envoie de courriel pour informer mes contacts de ma démarche.

Analyse de fréquentation de la page centrale

Depuis le lancement de la page centrale, le taux de fréquentation est décevant. Les premiers jours ont été les plus significatifs. Par la suite, les gens n’ont plus consulté l’article.

Retour des lecteurs

J’ai eu l’occasion de discuter avec quelques-uns des utilisateurs ayants lu mon article. Le titre de l’article est intéressant mais après l’avoir lu, les gens ont été déçus. L’article ne contenait pas de nouvelles informations pouvant les informer.

Réflexion

Lors de la rédaction de mon bilan, j’ai constaté que je n’avais pas utilisé au maximum ma présence sur le WEB. Les réseaux sociaux Facebook et Twitter sont les très populaire mais il existe d’autre façon de partager de l’information.

Dans le cadre du cours, nous avons appris à utiliser les outils Diigo et Netvibes. J’ai utilisé en le site Diigo pour partager le lien avec le groupe du cours mais je n’ai pas pensé à créer un groupe. Je n’ai pas su exploiter au maximum cet outil. Pour l’outil Netvibes, je ne l’ai pas utiliser. Par contre, cet outil offre plusieurs avantages aux gens.

On retrouve plusieurs sites hébergent des forums. Ces lieux sont souvent utilisés pour partager de l’information sur différents sujets. Je n’ai pas pensé à les utiliser mais leur utilisation m’aurait aidé à rejoindre davantage de gens.

 

Le sous investissement en transport en commun

Dans la grande région de Montréal, le transport en commun assure le déplacement de nombreux utilisateurs. Parmi les transports en commun, on y retrouve les autobus, le métro, le train de banlieue.

Depuis plusieurs années, le transport en commun, en particulier le métro,  éprouve de sérieux problèmes. Les trains utilisés par le métro de Montréal datent, pour la grande majorité,  des années 60-70. Malheureusement, la STM ne pouvait pas procéder au rajeunissement de ses trains, faute d’argent. De plus, les installations (station de métro, garage, encare, etc) utilisés par la STM sont en piètre états. En plus, le système informatique de la STM est désuet, datant d’une autre époque.

Nous assistons à une augmentation constante des frais d’exploitation du transport en commun. Pourtant, les investissement provenant des différents palier de gouvernement tarde à venir. Les différentes sociétés de transports de la grande région de Montréal sont déficitaires et urgents les gouvernements pour injecter de l’argenta avant l’arriver d’une catastrophe. Par contre, les gouvernements ne semblent pas vouloir remédier au problème.

Pourtant, plusieurs politiciens semblent avoir de nombreux projets pour le développement du transport en commun, spécialement le métro. Par contre, aucun politiciens ne veulent s’avancer et proposer des idées pour solutionner les nombreux problèmes qu’éprouve le transport en commun. Les prises de décisions ne se prennent pas et les utilisateurs sont pris en otages.

Les dirigeants des sociétés de transports devront commencer à faire des bilans, à produire des états financiers claires mais surtout mettre au clair les situations problématiques.

Nos élues devrons prendre des décisions le plus rapidement possible car la population ne veut plus être pris en otage.

C’est à se demander si la situation problématique qu’éprouve les sociétés de transport est la somme de mauvaise gestions de ces dirigeants ou d’un manque d’ambition de nos élus.

La cyber-indimitation

L’adolescence n’est pas une période de la vie facile. Elle est remplie de changement, autant physique et sociale. Cette période est fait pour se découvrir et découvrir la vie. Durant cette période de la vie, ce n’est pas rare d’assister à l’intimidation. Majoritairement, on la retrouve en milieu scolaire. Les gens posent des gestes ou parole envers un autre ayant comme conséquence l’intimidation. Durant cette période de la vie, les jeunes ne sont pas conscient des conséquences de leur actions.

Par contre, l’intimidation effectué par ces gens se sont toujours limités en des endroits publiques. La maison était un refuge pour plusieurs, un endroit pour échapper aux intimidant.

Avec la popularité des médias sociaux, plusieurs personnes les utilisent pour intimités les plus vulnérables. Ces gens n’ont plus d’endroit pour échapper à l’intimidation.

Les réseaux sociaux et la vie privée

Depuis plusieurs années, les utilisateurs sont nombreux à utiliser les réseaux sociaux. En utilisant les réseaux sociaux, les utilisateurs sont invités à créer un profil. En ce créant un profit, l’utilisateur pourra s’identifier auprès des autres utilisateurs et partager de l’information sur lui-même.

Un profil n’est pas simplement porteur de données personnelles sur un utilisateur. Elle comprend  aussi des informations sur le graphe sociale (lien existent entre les utilisateurs), son appartenance à des groupes, flux d’activité et les références (données provenant d’autre utilisateurs). Il est intéressant de savoir qu’un profil d’un utilisateur devient alors le point centrale en matière d’information concernant l’information d’un utilisateur. À travers les réseaux sociaux, les gens peuvent se retrouver et partager de l’information.

Il faut faire attention sur l’information que nous voulons circuler, car une fois en circulation, cette information devient nécessairement publique. En étant publique, tous les utilisateurs peuvent la consulter et ce en tout moment. Cette information passera le courant du temps. Avec les moteurs de recherche, cette information pourra être recherché et trouvé par utilisateur. Celui-ci pourra la copier et la retransmettre.

Les réseaux sociaux possède une caractéristique importante : les utilisateurs participant au réseaux sociales ne participent pas physiquement à la conversion. Les gens n’ont plus besoin de communiquer de façon traditionnel.

L’être humain : ennemi ou ami de la planète

Depuis plusieurs années voir des siècles, l’être humain est devenu l’espèce animal la plus dominante sur la planète. Chacune de nos actions à de grave conséquence sur notre planète.

En étant l’espèce la plus dominante sur la planète, nous consommons en grande partie les différentes ressources naturels de notre planète. Nous développons des villes sans trop se préoccuper des impacts qu’il peut avoir sur les autres espèces animales. Le développement des villes a comme conséquence direct de diminuer les forêts et des habitats naturels des espèces animales.

En consommant la grande majorité des ressources naturels de la planète, nous affectons nécessairement l’équilibre naturel de la planète. Les différentes actions poser par l’être humain ont souvent des conséquences terribles sur l’environnement car celui-ci a souvent tendance à se préoccuper très peu des impacts sur l’environnement. Heureusement, depuis quelques années, les nouvelles générations veulent faire davantage pour protéger notre planète. Ils ont maintenant conscient du poids de l’être humain et des conséquences de nos gestes sur la planète. Ils posent des gestes concrets pour rétablir l’équilibre de l’environnement en minimisant nos gestes.

La cyberdépendance

Au cours des dernières années, les nouvelles technologies nous facilitent nos vies. Par contre, celle-ci a créé une nouvelle maladie : la cyberdépendance.

Malgré les biens faits des réseaux sociaux et des nouveaux technologies, on assiste à l’émergence de nouveaux problèmes psychologiques. Les gens deviennent dépendent aux réseaux sociaux et ils peuvent plus s’en passés. Ils exposent leur vie sur les différents réseaux et ils ne peuvent plus s’en passer.

Avec ce nouveau phénomène, plusieurs spécialistes se sont penchés sur ce problème car ceci est un phénomène de masse.

Il faut nous demander si nous ne sommes pas en partie responsable de se nouveau problème. Est-ce que nous avons vraiment besoin des technologies et des réseaux sociaux pour vivre ? Au début du siècle dernier, les gens n’avaient pas accès à l’internet et ils vivaient très bien.

21ieme siècle : l’émergence du web social

Depuis le commencement du siècle, nous assistons à une augmentation de la consommation d’information via le web et une diminution de la consommation des médias traditionnels. Ceci est dû à une augmentation des outils et de plateformes permettant d’atteindre une proportion de masse.

Avec l’émergence de ces nouveaux plateformes et outils, chaque utilisateur peut passer d’un simple consommateur d’information à un producteur d’information. Depuis, on assiste à une augmentation exponentiel des sources d’information sur le WEB. Les gens en quêtent information se tourne vers ses nouveaux plateformes. Ils ont le sentiment de mieux être informer par les nouveaux médias  que par les médias traditionnels. Au cours des dernières années, nous avons assistés à quelques scandales en provenance des médias traditionnels et cela à ébranlé la confiance des consommateurs d’information.

En consultant l’information sur le web, les consommateurs d’informations donnent une plus grande crédibilité aux producteurs d’information car la grande majorité ne sont pas contrôlés par quiconque.

Par contre, avec la quantité grandissante d’information sur le web, les consommateurs doivent prendre le temps de les filtrer de consulter les sources d’informations intéressantes pour eux.

La religion : source de conflit

L’être humain a toujours eu le senti de se doté de religion. Les différentes religions nous aident à faire face aux mystères que la vie nous réserves.

Par contre, l’histoire nous montre que les religions sont souvent sources de conflits. Durant le Moyen-Âge, le pape autorisa différentes croisades pour tenter de récupérer les terres perdus lors de expansions arabes. Ces croisades étaient au nom de la religion. Par contre, elles n’ont pas eu le résultat escompté. En fait, les résultats ont été catastrophiques pour les occidents chrétien. Il y a eu plusieurs morts au nom de la religion.

Au 20ième siècles, lorsque la télévision est devenu un média bien établie, nous sommes devenus au courant des tristes événement au proche-orient. Le monde entier est devenu au fait des terroristes. Ces gens commettant des actes horribles au nom de la religion.

Ces deux exemples font parties de nombreuses exemples en provenance de l’histoire de l’humanité. On peut se demander la question suivantes : qu’est-ce l’être humain est prêt à faire au nom de la religion ?

En réfléchissant un peu, la plupart des religions est un ensemble de croyances et de pratique mais généralement, les fidèles sont menés à bien se comporter. Est-ce que nous avons mal interpréter les différentes écrits ?